Rondin de bois, 1934
Rondin de bois. Pièce à conviction du Musée de la Sûreté provinciale de la Division de Québec, saisie lors de l'enquête concernant le meurtre d’Albert Tremblay, à La Reine, le 14 janvier 1934.
Albert Tremblay est tué dans son sommeil par son frère Émilien Tremblay. Profitant du fait qu’ils sont tous les deux seuls dans la maison, Émilien Tremblay monte dans la chambre d’Albert Tremblay pour lui assener un coup de rondin au front, le tuant sur le coup. Au retour du reste de la famille à la maison, Émilien Tremblay avertit ceux-ci qu’il a tué son jeune frère.
L’enquête est menée par le sergent d’état-major Kenneth Hateway Turnbull de la Patrouille de l’Abitibi.
Ruban de deuil, 2022
Ruban de deuil bleu et noir, complété d’un insigne métallique.
Émis par la Société du ruban commémoratif des policiers et agents de la paix, le Ruban commémoratif des policiers et agents de la paix est porté par les policiers lors des cérémonies commémoratives tenues annuellement ou lorsqu’un policier canadien décède en service.
Le ruban est créé en 1994 à l’occasion du décès de l’agent Todd Baylis du Service de police de Toronto. Ne possédant aucun moyen pour souligner la perte d’un confrère ni pour honorer le sacrifice ultime d’un collègue, l’agent Shawn Coady, du Service de police de Vancouver, conçoit la première version du Ruban commémoratif des policiers et agents de la paix. L’idée est rapidement adoptée par l’ensemble de la Colombie-Britannique pour ensuite s’étendre au reste du pays.
La Sûreté du Québec s’associe à la Société et utilise ce ruban lorsqu’elle participe à des cérémonies commémoratives ou lorsqu’un policier canadien décède en service.
Sculpture, 1962
Sculpture en bois représentant l’emblème de la Sûreté provinciale du Québec de 1960. Elle est en exposition au mess des officiers du Grand quartier général de Montréal. Auparavant, elle était en exposition dans le gymnase de l’École de police du Québec située sur la rue Poupart, à Montréal, entre 1962 et 1969.
Sculptée par J.J. Jutras, vers 1962.
Sculpture, 1983
Sculpture en bois représentant l’emblème de la Sûreté du Québec de 1983. Elle est en exposition au mess des officiers du Grand quartier général de Montréal.
Sculptée par l’inspecteur-chef Réal Turner, vers 1983.
Sculpture, 2008
Sculpture représentant les armoiries de la Sûreté du Québec, concédées le 15 mars 2005 par Adrienne Clarkson, 26e gouverneure générale du Canada. Cette sculpture est un prototype présenté en 2008 à l’État-major de la Sûreté du Québec en vue de confirmer le modèle grandeur nature qui est installé au mess des officiers du Grand quartier général, à Montréal.
Sculpture, 2008
Sculpture représentant les armoiries de la Sûreté du Québec, concédées le 15 mars 2005 par Adrienne Clarkson, 26e gouverneure générale du Canada. En 2008, la sculpture a été installée au mess des officiers du Grand quartier général de la Sûreté du Québec à Montréal.
La description héraldique officielle est la suivante :
Armoiries
Échiqueté de sinople et d’or à la fleur de lis d’argent;
Cimier
Un harfang des neiges posé de front essorant au naturel;
Supports
Deux orignaux au naturel, celui à dextre tenant le drapeau du Québec (d’azur à la croix cantonnée de quatre fleurs de lis, le tout d’argent), celui à senestre tenant le drapeau de la Sûreté du Québec (de sinople au pal canadien d’or chargé de l’insigne de la Sûreté du Québec, qui est d’azur à la fleur de lis d’argent, le tout enclos dans un anneau d’or inscrit SÛRETÉ DU QUÉBEC et POLICE en lettres de sable, environné d’une guirlande de feuilles de chêne d’or, soutenu de la devise de la Sûreté du Québec), les supports debout sur un monticule herbeux orné de branches de bouleau et de chêne au naturel fruitées d’or;
Devise
SERVICE, INTÉGRITÉ, JUSTICE.
Serre-poignet, vers 1900-1949
Serre-poignet en métal et en bois, modèle Chain Come Along, utilisé pour le transfert de prisonniers, souvent à l’intérieur d’un établissement de justice, vers la première moitié du 20e siècle. Les maillons de la chaîne sont constitués de fils de métal tressés.